En Tunisie, depuis le 26 février dernier, les employés de Teleperformance protestent contre les conditions de travail.
Communiqué de presse
25 mars 2013
En Tunisie, depuis le 26 février dernier, les employés de Teleperformance (leader mondial des centres d’appel, employant plus de 6 000 salariés en Tunisie, dans les villes de Tunis, Ben Arous et de Sousse.) protestent contre les conditions de travail qui se détériorent de plus en plus : la santé et la sécurité des travailleurs se dégradent, les accords signés ne sont plus appliqués, la direction procède à des recrutements par copinage… Ce qui a fait déborder le vase, c’est le licenciement abusif de plusieurs salariés ayant pour certains plus de dix ans d’ancienneté ! pour « motifs divers » tels que des retards, absences injustifiées, ou encore pour mauvais traitements des appels téléphoniques.
Depuis le 26 février, plusieurs d’entre eux occupent la salle de réunion de la direction au siège social de Teleperformance-Tunisie. puis trois d’entre eux sont entrés dans une mobilisation très dure le 5 mars : ils ont entamé un grève de la faim. Les patrons ont tout fait pour faire « dégager » les grévistes fait appel à des huissiers, à la police, puis aux parents… jusqu’à déposer une plainte au tribunal pour occupation illégale des locaux de l’entreprise !
Depuis, dans d’autres villes, des employés ont suivis le mouvement en arrêtant également de s’alimenter.
le secrétaire général adjoint du syndicat Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT), M. Slim Ben Romdhane demande à ce que toutes les sanctions et licenciements soient annulés.
Il devient urgent que la direction française de ce géant mondial des centres d’appels reconnaisse le droit de ses salariés à avoir des conditions de travail décentes.
La Fédération CNT PTT et sa section syndicale à Teleperformance appelle à soutenir les syndicalistes tunisiens de l’UGTT (Union Générale des Travaileurs Tunisiens) qui luttent désespérément pour faire reconnaître leurs droits.
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