Le 1er mai 1886 débute à Chicago une grève de plusieurs jours organisée par les syndicats des ouvrier.es afin d’obtenir la réduction du temps de travail journalier de 12 à 8 heures impulsée principalement par un syndicalisme révolutionnaire et libertaire.
Le mouvement s’inscrit dans la longue lutte autour de la journée des huit heures, revendication du mouvement ouvrier dans tous les pays depuis ses origines, notamment en France, à l’occasion de la première « journée internationale des travailleuses et des travailleurs ».
Pour la CNT, cela ne fait aucun doute : le 1er mai reste celui de la lutte des classes, comme nous le rappelle quotidiennement la triste réalité du monde capitaliste : chômage, précarité, casse des services publics et des statuts, profonde remise en cause du code du travail. Le gouvernement balaye un siècle de conquête sociale, à nous de porter collectivement nos choix pour un autre futur !
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