Le RN prétend défendre les classes populaires, ouvriers et employés, en développant des discours à géométrie variable et opportunistes, dont le seul point commun est toujours la recherche d’un bouc-émissaire chez les plus précaires : l’étranger, le migrant, le chômeur, etc.

Pourtant sitôt que l’on se penche sur son programme et ce que fait réellement le RN, et plus particulièrement ses votes réels au parlement européen ou à l’assemblée nationale, l’imposture sociale apparaît rapidement.

Article d’analyses proposé par le syndicat Travail & Affaires sociales (TAS) de la CNT.

Sommaire de l’article, à retrouver dans son intégralité en suivant le lien ci-dessous :
– Salaires et pouvoir d’achat : au parlement européen, le RN s’oppose à toute mesure en faveur des salariés.
– Inégalités hommes-femmes
– Services publics
– Travail
– Écologie
– Impôts
– Retraites

Le RN, par la bouche de Bardella, ne défend pas les intérêts des classes populaires, il cherche au contraire à les diviser en détournant les questions sociales et des luttes sociales collectives. Il joue pour cela sur la logique du bouc émissaire à travers les figures de « l’assisté », ou plus encore de « l’immigré » qui profiteraient du « système » en les assimilant à des fraudeurs.

On le voit le RN retrouve toujours la fonction de tous les fascismes et néo-fascismes lorsqu’ils arrivent au pouvoir : être les chiens de garde de la bourgeoisie et du patronat.

Article complet à retrouver ici : https://www.cnt-tas.org/2024/06/23/le-rn-faux-candidat-anti-systemevraie-imposture-sociale/