La CNT réunie à Paris en Congrès Confédéral reconnaît les manquements graves et les faits de violence dans son traitement des violences sexistes et sexuelles commises par un de ses militants de Moselle en 2016, qui aujourd’hui ne fait plus partie de la CNT.
La CNT présente solennellement ses excuses pour cette non-reconnaissance et du déni qui s’en est suivi.
La CNT s’engage dans un processus de réparation auprès des victimes.
La CNT reconnaît ces faits comme partie intégrante de son histoire et s’engage dans une reconstruction collective tenant compte de ces faits.
La CNT s’engage à se doter d’outils de prévention et de lutte contre les violences sexistes et sexuelles parmi ses militant·e·s, et à impulser des actions de réparation qui restent à construire, en plus du protocole déjà en place depuis 2021.