De nombreux syndicats CNT sont engagés dans le soutien aux personnes vivant à la rue. La traque contre ces personnes, la destruction de tentes et campements, le refus des institutions d’assurer un hébergement, décident les syndicats à mettre à l’abri de nombreuses familles, à réagir aux situations d’urgences.

L’Unicef estime à plus de 2 000 le nombre d’enfants et leurs familles dormant à la rue tous les soirs en France. Ci-après quelques articles documentant ces réalités qui sont en augmentation depuis notamment la dernière rentrée scolaire.

À Strasbourg : Pour qu’il n’y ait plus d’élèves à la rue, mise à l’abri dans un collège et un article du média Rue89Strasbourg.
La vie et le soutien sur [le campement de Krimmerie-Meinau->https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=pfbid0273NTP4qUHjogPrQeAgCkQVqF2yV1Se332H5qp7R2XyUFhYzQMxjAHACnjPtdyE7Zl&id=100065079367042] dont nous nous étions déjà fait l’écho en juillet et septembre 2024.

À Grenoble où le nombre d’écoles occupées ne fait qu’augmenter, la situation à la rue est de pire en pire : Quand la police municipale chasse des familles à la rue.

À Rennes : un communiqué faisant le point sur la situation locale, Des logements et des conditions de vie dignes pour tous les enfants et leurs parents !.

Les situations de personnes à la rue sont bien souvent corrélées à la “gestion” des migrantes et migrants, l’État français refusant les papiers à cette main d’œuvre corvéables à merci, soumise au patronat.
Le syndicat du bâtiment de la région parisienne rappelle la loi pour les OQTF : https://subrp.cnt-f.org/spip.php?article1470
À Grenoble, un rassemblement est appelé pour dénoncer [l’impossibilité pour les sans-papiers de demander l’application de la loi et le durcissement prévue de celle-ci par le nouveau ministre->https://ul38.cnt-f.org/2024/11/28/la-situation-des-sans-papiers-de-pire-en-pire/].


De nombreuses initiatives sont organisées partout en France face à ces situations d’urgence dramatiques. Les syndicats CNT y participent et s’en font généralement l’écho. N’hésitez pas à vous rapprocher de votre syndicat le plus proche.