Il n’y a aucune trêve estivale ou olympique à l’attention des personnes migrantes et/ou sans-papiers. Bien au contraire, un peu partout en France, l’État et certaines communes profitent qu’une partie de la population soit au repos, en vacances ou cherchant tout simplement à reprendre son souffle en ces mois d’été, pour intensifier des pratiques inhumaines à l’encontre des plus fragiles et des plus démuni·es.
À Bègles, Rennes, Strasbourg, Lille… La liste des exactions, des expulsions de campement, de lieux informels d’accueil fermés s’est allongée au fil de l’été. Lles syndicats CNT informent, dénoncent et appellent à la solidarité.
Pour n’en citer que deux, à Bègles, la CNT 33 fait le récit d’une expulsion et à Rennes, la CNT 35, aux côtés d’autres associations, appelle à la solidarité financière.