Au-delà du drame humain, on doit s’interroger sur la situation de l’école d’aujourd’hui.
Classes surchargées, jeunesse criminalisée, pressions hiérarchiques, marchandisation de l’école, isolement des personnels, politique de répression, discours sécuritaires, précarisation, discrédit organisé des enseignants, suppression massive de postes, absence de formation, renforcement de la concurrence pèsent de manière lourde sur la santé morale et physique de l’ensemble des élèves et des travailleurs-euses de l’éducation .
Combien en faudra-t-il encore pour que l’on se révolte ?
Fédération des Travailleurs-euses de l’éducation de la CNT