La poste entend imposer ses réorganisations- qui sont pour les facteurs une désorganisation de leur activité- par tous les moyens.

Ainsi 11 postiers des Hauts de Seine viennent d’être condamnés à 1500 euros d’amendes avec sursis et 500 euros de dommages et intérêts.

Ceux qui luttent, qui revendiquent, occupent des locaux, sont désormais traités comme des criminels. Il s’agit de faire des exemples, d’intimider les collègues qui sont de plus en plus nombreux à vouloir se révolter contre une politique de suppressions d’emplois, de dégradation des conditions de travail à la distribution comme aux guichets ou dans les PIC.

La Fédération CNT-PTT exprime sa solidarité avec les postiers victimes de la criminalisation de la lutte sociale et se fera l’écho des actions en appel.


FÉDÉRATION CNT PTT

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