Ni patrie ni frontières

Cette revue « de traductions et de débats » ouvre plusieurs dossiers : le renouveau de ce qu’on appelle faute de mieux « la mouvance autonome » est analysé, et les positions théoriques et pratiques de ces militants critiquées, notamment sous la plume de militants italiens ; les ambiguïtés et les dérives totales de l’antisionisme sont disséquées ; d’autres textes s’intéressent au mouvement des sans-papiers. Le ton est souvent rude, il y a de quoi lire et discuter. À chacun de trouver son bonheur dans cette copieuse revue (trois numéros pour le prix d’un !).

–  Ni patrie ni frontières
octobre 2009, 12 €.

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