Une centaine de syndicalistes (membres de diverses organisations) appelle à faire de la grève générale du 31 mars 2016 une réussite et propose de construire, dans les jours et semaines qui suivent, une « contre-offensive » avec « des revendications qui permettent de rassembler […] à la base et dans l’unité », comme par exemple « la réduction du temps de travail à 32 heures par semaine, sans réduction de salaires, ni flexibilité, ni arnaque à la clef comme les “35 heures-Aubry” l’ont été dans de nombreux secteurs ».
Pour en savoir plus : http://onbloquetout.org/